
That's the reality † - CHAPITRE II.
« Les souvenirs sont parfois encore plus importants que les moments présents parce que le temps qui passe les rend irremplaçables, uniques. Et c'est pourquoi il ne faut jamais regretter ses choix et toujours avancer droit devant,
ne gardant bien précieusement au fond de soi que les belles choses que la vie a mises sur notre route.»
[ Musique ]
J'empoigna la telecommande d'un telle force que je cru qu'elle aller ce briser sous ma main, puis je la lanca si violemment qu'elle explosa en mille morceaux contre le mur.
Je pris un oreiller et cria de toute mes forces dedans.
Il me mettait hors de moi, pourquoi l'avais-je cru ?
Pourquoi lui avais-je fait confiance ?
trop de question se bousculais dans ma tete, je tenta de me calmer mais rien n'y fesai, je n'y arrivais pas, Je decida alors d'etteindre la télé, je me dirigea vers celle-ci et appuya sur le bouton.
Je monta les escaliers deux par deux et entra dans la salle de bain.
J'ouvris la premiere petite porte que je trouva, celle de l'armoir a pharmacie.
Je fouilla quelques instants et mis la main sur ce que je voulais, une lame de raseoir.
Non je ne suis pas folle, je suis juste une de ces filles qui ce fait mal pour aller mieux.
Celle qui connaisent ce quotidient le savent bien, ce faire encore plus mal pour aller mieux, telle est la regle dans ce monde.
Je l'empoigna de ma main frele et la deposa delicatement sur mon bras, un frisson me parcouru tout le corp.
A ce moment la je ne pensait qu'a lui, le maitre de mes souffrances...Niall James Horan
Une fois le rituel terminé, je pris un gant de toilette humide et le posa sur ma plaie, je pris ensuite de quoi essuyait les quelques gouttes de sang au sol .
sa me faisait atrocement mal, mais je survivait, pour lui...Pour nous..Une chose impossible, nous, n'existait plus a présent.
Je pris mon manteau et sorti de cette horeure qui etais maintenant ma vie, prendre l'air en m'etant assurée de mettre un long pull cachant mes cicatrices toutes fraiches.
Je longeais les petites ruelles menant a des plus grandes et ainsi de suite.
Je parti en direction du parc en esperant qu'il reste de la place sur un banc, quand quelqu'un me bouscula, ce qui me fit tomber sur les fesses.
<< Escuse moi >> avait t'il laché, que très peu sur de lui.
<< Ce n'est pas grave >> lui avais-je repondu, etant une fille polie.
Je remonta ma tête pour faire fasse a celui-ci, quand.. Le choc, non sa ne pouvait pas etre lui, pas maintenant, pas comme ca.
Je fis cligner deux petites fois mes grands yeux marrons, je ne revée pas cette fois ci, il etais réelement là, les mains dans les poches, ne semblant en aucun cas m'avoir reconnu.
<< Ca va ? >> renchena t'il alors
<< Je..O..oui..oui >> repondi-je en etat de choc
<< Bien. >>
Puis il fit demi tour, etant près a partir.
<< N..on attend ! >> lui ordonnée-je.
Il se retourna alors vers moi, ses prunelle bleues grandes ouvertes, comme si il etais choqué que je le retienne. Il attendé que je prenne la parole.
<< Rien..escuse moi. >>
Il refit alors demi tour, et s'en alla pour de bon, en s'engoufrant dans les ruelles sombres de Londres.
Quant a moi, je me laisse glisser le long d'une petite maison en brique rouge, typiquement anglaise.
Je mis mes mains sur mon visage et commenca a pleurée.Une perle salée, puis deux , puis trois...Ainsi que beaucoup d'autre cachant ainsi mes yeux cernés, ma bouche presque violatre et mes joues creusées de mal etre.
Une fois calmée, je repartis chez moi, la tête pleine de question, espérant tout de même trouver le sommeil.
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